
-
La commission TikTok préconise à son tour d'interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans
-
New York commémore le 11-Septembre, sur fond de joute électorale
-
BCE: réunion de rentrée compliquée par la crise politique française
-
A Cuba, la résignation en attendant le rétablissement du courant
-
Trump accuse la "gauche radicale" d'avoir contribué au meurtre de son allié Charlie Kirk
-
L'explosion d'un camion-citerne à Mexico fait 3 morts et 67 blessés
-
Procès Bolsonaro: un juge démonte le dossier et vote pour l'acquittement
-
L'influenceur pro-Trump Charlie Kirk tué par balle
-
L'explosion d'un camion-citerne à Mexico fait 57 blessés, dont 19 graves
-
Le Qatar veut que Netanyahu soit "traduit en justice" et reconsidère sa médiation
-
Des roches tachetées offrent les plus sérieux indices d'une ancienne forme de vie sur Mars
-
Le Qatar dit que Netanyahu doit être "traduit en justice"
-
Charlie Kirk, héraut du trumpisme auprès des jeunes Américains
-
Wall Street termine en ordre dispersé, prudente avant les prix à la consommation
-
Raids israéliens au Yémen, 35 morts selon les rebelles
-
Rencontre entre le prince Harry et le roi Charles III, une première en plus d'un an et demi
-
Harris règle ses comptes avec Biden et son entourage
-
Etats-Unis: l'influenceur conservateur Charlie Kirk blessé par balle (médias)
-
Un salarié malade pendant ses congés a désormais le droit de les reporter
-
Foot: "Il Fenomeno" Mandanda tire sa révérence
-
La Pologne met en garde contre un "conflit ouvert" avec la Russie après une intrusion de drones
-
Le patron de CNews également nommé directeur des rédactions de Prisma Media
-
"Bloquons tout": des dizaines de milliers de manifestants, des tensions mais pas de paralysie
-
Cuba face à une coupure totale d'électricité, pour la cinquième fois en un an
-
Lecornu promet des "ruptures" et reçoit à tour de bras à Matignon
-
Israël menace de frapper ses ennemis partout après l'attaque au Qatar
-
Indonésie: au moins 13 morts dans des inondations à Bali et Florès
-
Népal: l'armée contrôle Katmandou et ouvre les discussions sur l'avenir du pays
-
F1: Alpine "n'aura plus d'excuse en 2026" dit Flavio Briatore à l'AFP
-
Judith Godrèche dit son incompréhension après sa mise en examen pour diffamation envers Jacques Doillon
-
La Pologne et l'Otan ont intercepté des drones, les Occidentaux accusent la Russie
-
"Bloquons tout": des manifestants par milliers, des tensions mais pas de paralysie
-
Trous noirs: Einstein et Hawking confirmés de nouveau par les avancées technologiques
-
Des milliers de morts après les incendies géants au Canada en 2023, jusqu'en Europe
-
Des mères demandent à la justice de protéger leurs enfants de l'inceste
-
Climat: une étude lie producteurs d'énergies fossiles et augmentation des canicules
-
Lecornu promet des "ruptures" en arrivant à Matignon
-
Un salarié malade pendant ses congés payés peut les reporter, selon la Cour de cassation
-
Manifestations propalestiniennes: les coureurs de la Vuelta pour une neutralisation en cas de nouveaux incidents
-
Equipe de France: les leçons d'une rentrée
-
Manifestations propalestiniennes: renforts de police "extraordinaires" pour les deux dernières étapes de la Vuelta
-
A Oslo, le dernier voyage de bateaux vikings
-
L'Otan a aidé à intercepter des drones "russes" envoyés contre la Pologne pour "tester" les Occidentaux
-
Loin d'Abidjan, des jeunes choisissent d'entreprendre dans l'ouest rural de la Côte d'Ivoire
-
Israël promet de frapper le Hamas partout après l'attaque au Qatar
-
Drones en Pologne: l'Otan avertit la Russie et dénonce son "comportement dangereux"
-
WNBA: le Seattle de Malonga et Williams arrache sa place en play-offs
-
Lecornu prend ses fonctions et promet des "ruptures"
-
Von der Leyen appelle l'Europe à "se battre pour sa place" dans un monde "hostile"
-
Varsovie et ses alliés dénoncent une "provocation" russe après l'intrusion de drones en Pologne

En Corée du Sud, dernière audience dans le procès en destitution du président
Plus de deux mois et demi après la brève proclamation de la loi martiale en Corée du Sud, la Cour constitutionnelle tient mardi la dernière audience du procès en destitution du président Yoon Suk Yeol avant de décider de son sort, entre déchéance définitive et retour au pouvoir.
La Corée du Sud navigue en plein chaos politique depuis que l'ancien procureur vedette a mis fin au régime civil l'espace de quelques heures, le 3 décembre, dans un coup de force rapidement contrecarré par les députés.
Successivement suspendu par l'Assemblée nationale, arrêté -- une première pour un chef d'Etat en titre dans le pays --, placé en détention puis mis en examen pour "insurrection", M. Yoon est parallèlement au cœur d'un procès pénal ouvert jeudi. Il encourt la prison à vie, voire théoriquement la peine de mort.
Les huit juges de la Cour constitutionnelle, eux, doivent tenir à partir de 14H00 (05H00 GMT) une 11e et ultime audience avant la mise en délibéré. Il leur faudra ensuite choisir entre entériner la motion de destitution du Parlement et ainsi démettre définitivement le dirigeant conservateur, ou bien le rétablir dans ses fonctions.
Les deux ex-présidents à avoir été dans cette position, Park Geun-hye (destituée et emprisonnée) et Roh Moo-hyun (réinvesti), ont connu leur sort respectivement 11 et 14 jours après la fin des débats.
Si M. Yoon était destitué, une nouvelle élection présidentielle devrait avoir lieu dans les 60 jours. Cette issue requiert le vote favorable de six juges, avec un verdict attendu à la mi-mars.
- "Dictature législative" -
Yoon Suk Yeol, 64 ans, aura mardi une dernière occasion de défendre sa déclaration de la loi martiale, tandis que des représentants du Parlement pourront plaider pour sa destitution.
Le soir de son annonce choc, il avait fait part de sa volonté de protéger le pays des "forces communistes nord-coréennes" et d'"éliminer les éléments hostiles à l'Etat".
La loi martiale peut être employée en cas d'urgence nationale majeure, comme une guerre.
Pour l'opposition, le président a pris des mesures extraordinaires injustifiées.
Me Kim Hong-il, l'un de ses avocats, estime quant à lui que la suspension du régime civil n'avait "pas vocation à paralyser l'Etat".
Son objectif était "d'alerter la population concernant la crise nationale provoquée par la dictature législative du parti d'opposition dominant, qui avait entravé l'administration".
Largement acquis aux adversaires de M. Yoon, le Parlement torpillait tous ses projets, dont celui de budget.
Par ailleurs, l'équipe juridique de l'ancien procureur affirme que l'instauration de la loi martiale était nécessaire pour enquêter sur de prétendues fraudes électorales lors du scrutin législatif de 2024 remporté haut la main par le Parti démocrate, principale force d'opposition.
A Séoul, des foules de partisans de Yoon Suk Yeol battent le pavé depuis des semaines, reprenant ces accusations de triche non-prouvée et réclamant son retour au pouvoir.
Selon une étude de l'institut Realmeter publiée lundi, 52% des Sud-Coréens sont pour la destitution du président.
D'après un sondage de Gallup datant de la semaine passée, 60% y sont favorables et 34% contre.
G.AbuOdeh--SF-PST