-
Mort de Robert Redford, géant du cinéma et incarnation d'une Amérique progressiste
-
Le chanteur Slimane condamné à 10.000 euros d'amende pour harcèlement
-
Pérou: 1.400 touristes évacués du Machu Picchu en raison d'une manifestation
-
Equateur: état d'urgence face aux blocages routiers
-
Nestlé annonce la démission de Paul Bulcke, président du conseil d'administration
-
Afrique du Sud: audience à la Cour constitutionnelle dans une affaire visant Shell
-
La reine Camilla, souffrante, absente des funérailles de la duchesse de Kent
-
Sous le feu des critiques, le directeur du FBI, Kash Patel, se défend pied à pied devant le Sénat
-
Un fidèle de Trump et une gouverneure réprouvée par l'exécutif siègent à la Fed
-
La Bourse de Paris termine en baisse avant la Fed
-
"Nous avons un accord" pour TikTok, assure Donald Trump
-
L'assassin présumé de Charlie Kirk va être inculpé
-
Création de vidéos, édition, YouTube accélère sur l'IA
-
Alertes sur le "mal-être des éleveurs", réunis pour leur salon à Rennes
-
Trump attaque le New York Times en diffamation pour 15 milliards de dollars
-
Foot: Philippe Diallo insiste pour la création d'une Société de clubs à la place de la Ligue
-
"Un lion s'en est allé": Robert Redford, légende du cinéma américain, est mort
-
Robert Redford, l'idéal américain
-
Mondiaux d'athlétisme: insatiable Kipyegon sur 1.500 m, Tinch roi du 110 m haies
-
Faste royal XXL pour la deuxième visite d'Etat de Trump au Royaume-Uni
-
Wall Street reste prudente à l'entame de la réunion de la Fed
-
Robert Redford, légende du cinéma américain, est mort
-
Intoxications et "odeurs nauséabondes": un Burger King fermé en Franche-Comté
-
En Autriche, l'espionnage russe en toute légalité
-
Gaza: une commission mandatée par l'ONU accuse Israël de "génocide"
-
"Des enfants déchiquetés" dans la ville de Gaza, après le début de l'offensive israélienne
-
Ariane 6: moins de lancements en 2025, équilibre à trouver entre Amazon et ambitions européennes
-
Un an après, l'Europe peine à appliquer l'électrochoc prescrit par Mario Draghi
-
Ouverture du procès en appel du "violeur de Tinder" Salim Berrada
-
Sabotage Nord Stream: un juge italien ordonne l'extradition d'un Ukrainien vers l'Allemagne
-
Israël lance son offensive terrestre majeure à Gaza-ville
-
Allemagne: prison à vie pour l'auteur afghan de l'attaque au couteau de Mannheim
-
L'influenceuse Miel Abitbol exhorte Macron à ne pas mettre la santé mentale "sous le tapis"
-
Israël pilonne violemment Gaza-ville, Rubio lance un ultimatum au Hamas
-
Le deuil ultramédiatisé et militant de la veuve de Charlie Kirk
-
"Il n'y a rien ici", faute d'emplois, les jeunes Népalais contraints à l'exil
-
Ligue des champions: à Madrid, l'OM change de monde
-
Athlétisme: vitesse, expérience et chaussures, les raisons de la domination de Duplantis
-
Au Sénégal, inquiétudes pour la liberté d'expression sous le nouveau pouvoir
-
A bord du Nicolas-Jérémy, la dernière génération d'une lignée de pêcheurs
-
A Lagos, mourir par manque d'ambulances et excès d'embouteillages
-
De jeunes Américains défient Trump au tribunal pour son recul climatique
-
Sous le feu des critiques, le directeur du FBI Kash Patel s'explique devant le Congrès
-
Début du procès en appel du "violeur de Tinder" Salim Berrada
-
Un an après la crise de la vie chère, la Martinique étend son "bouclier qualité-prix"
-
Allemagne : verdict pour un Afghan jugé pour une attaque meurtrière au couteau
-
Présidentielle au Malawi: duel de vétérans sur fond d'économie moribonde
-
Le président nationaliste polonais à Berlin et à Paris pour parler histoire, sécurité et Mercosur
-
Le Sénat américain confirme la nomination d'un conseiller de Trump à la Fed
-
Les Etats-Unis frappent un nouveau bateau de "narcoterroristes" vénézuéliens
Trump en route pour sa deuxième visite d'Etat au Royaume-Uni, reçu par son "ami" le roi
Donald Trump s'est envolé mardi pour une deuxième visite d'Etat historique au Royaume-Uni, où la pompe royale se déploiera pour amadouer le président américain.
Des milliers de manifestants ont toutefois prévu de protester à Londres contre la venue du président de 79 ans, dont le séjour est encadré par un dispositif de sécurité exceptionnel.
Juste avant son départ, Trump s'est réjoui de l'"honneur" qui lui était fait, assurant que le roi Charles III était un "ami de longue date".
"C'est un gentleman très élégant qui représente très bien son pays", a déclaré le responsable républicain à des journalistes, avant de quitter la Maison Blanche, se tenant par la main avec avec son épouse Melania.
C'est la première fois qu'un président américain effectue une deuxième visite d'Etat au Royaume-Uni.
Selon certains médias britanniques, le roi Charles III, 76 ans, toujours soigné pour un cancer, n'était pas emballé à l'idée de réinviter l'imprévisible président américain qui la fois précédente, en 2019, avait été accueilli par la reine Elizabeth II.
Mais le gouvernement travailliste entend capitaliser sur la fascination de Donald Trump pour la famille royale, et ainsi renforcer la "relation spéciale" historique entre Londres et Washington.
- "Affiner" l'accord -
Pour la partie royale de la visite d'Etat, Donald Trump doit rester confiné mercredi dans l'enceinte du château de Windsor, à 40 km de Londres. Même la traditionnelle procession en calèche aura lieu dans le parc de Windsor, évitant les rues de la petite ville.
M. Trump rencontrera ensuite jeudi le Premier ministre Keir Starmer à Chequers, sa résidence officielle de campagne à 70 km de Londres, pour un volet plus politique et économique, avant de repartir le soir même.
Les discussions porteront notamment sur un récent accord commercial permettant au Royaume-Uni d'échapper aux pires droits de douane imposés par Washington. Les Britanniques "veulent voir s'ils peuvent affiner un peu" l'accord, "nous allons en parler", a simplement commenté le président américain.
Cette visite doit aussi acter au moins dix milliards de livres (11,56 milliards d'euros) d'investissements américains au Royaume-Uni dans la tech, le secteur bancaire et le nucléaire, lorsque M. Starmer recevra Donald Trump à Chequers.
Keir Starmer cajole le président américain depuis que ce dernier est revenu au pouvoir en janvier.
Cette visite représente "un moment très important" pour les deux hommes, estime Evie Aspinall, directrice du centre de réflexion British Foreign Policy Group.
Trump, dont la mère était Ecossaise, pourra "savourer le faste et le cérémonial qu'il affectionne", souligne-t-elle. Pour Starmer, "c'est l'occasion de détourner l'attention du mécontentement" dans le pays, "et de braquer les projecteurs sur les questions internationales, où il a connu le plus de succès en tant que Premier ministre", ajoute-t-elle.
Rien ne sera trop beau pour divertir Donald Trump et son épouse Melania.
En fin de matinée mercredi, le couple sera accueilli en grande pompe par le roi et la reine Camilla à Windsor. Une salve royale sera tirée du château et depuis la Tour de Londres en leur honneur, avant que le roi, la reine, le prince héritier William et son épouse Catherine se joignent à eux pour la procession en calèche.
Une garde d'honneur XXL, avec trois régiments de la Garde royale accueillera ensuite Donald et Melania Trump avec fanfare, tambours et cornemuses dans la cour carrée du château.
Donald Trump passera en revue cette garde d'honneur, avant un déjeuner en privé avec la famille royale.
Une autre cérémonie militaire, avec un survol de la patrouille acrobatique des "Red Arrows" précèdera le traditionnel banquet royal avec quelque 150 invités.
- "Amitié indestructible" -
Cette visite survient à un moment délicat pour Keir Starmer, contesté au sein même de son parti après deux semaines calamiteuses qui ont vu le départ de sa numéro 2 Angela Rayner et le limogeage de son ambassadeur à Washington Peter Mandelson, après des révélations sur ses liens étroits avec le criminel sexuel américain Jeffrey Epstein.
Un sujet dont Donald Trump aurait préféré qu'il ne traverse pas l'Atlantique, car il était lui aussi un temps proche d'Epstein, qui est mort en prison. L'affaire l'empoisonne depuis de longues semaines.
Cette visite d'Etat verra "l'amitié indestructible" entre les deux pays "atteindre de nouveaux sommets", a promis Downing Street.
Melania Trump aura son propre programme jeudi avec la reine Camilla - si elle est guérie de la sinusite aiguë dont elle souffrait mardi - et la princesse Kate.
K.AbuDahab--SF-PST