-
US Open: Aryna Sabalenka, un "tigre" redevenu féroce à New York
-
Tennis: la N.1 mondiale Aryna Sabalenka gagne un deuxième titre d'affilée à l'US Open
-
Top 14: Bordeaux-Bègles mate La Rochelle,le Stade français et Bayonne bien lancés
-
Le patron de Stellantis (Jeep, Peugeot, Fiat) critique à son tour la fin des ventes de voitures thermiques en 2035
-
Succès surprise pour Jim Jarmusch, Lion d'or à Venise
-
L'armée israélienne détruit une nouvelle tour à Gaza-ville, appelle les habitants à évacuer
-
Top 14: Toulon et le Stade français bien lancés, Bayonne s'offre Perpignan
-
Equipe de France: Dembélé et Doué touchés, gros coups durs pour le PSG
-
Top 14: le Stade français et Lyon bien lancés, Bayonne s'offre Perpignan
-
Tour d'Espagne: Soler s'impose en solitaire, Vingegaard résiste aux UAE
-
Un transport de combustible nucléaire MOX a quitté Cherbourg en direction du Japon
-
Euro de basket: Mam Jaiteh, pivot arrivé à un tournant
-
F1: Max Verstappen retrouve la pole en Italie, devant les McLaren
-
L'armée israélienne détruit une nouvelle tour à Gaza-ville, appelle à évacuer
-
Droits de douane: 88 opérateurs suspendent leurs services postaux avec les Etats-Unis, selon l'ONU
-
"Larmes et douleur" après un éboulement dévastateur au Soudan
-
Dans les vignes bordelaises, le pari de nouveaux cépages plus résistants
-
Filmés avec des élus du PS, Thomas Legrand et Patrick Cohen se défendent de tout "complot"
-
Enfants et écrans: promises depuis plus d'un an, les mesures restent limitées
-
Paolo Barilla, ancien pilote automobile devenu roi des tortellini
-
Thomas Legrand assume de "s'occuper journalistiquement" de Rachida Dati
-
Pour lutter contre les déserts médicaux, la région Centre-Val de Loire salarie des médecins
-
De LFI à l'extrême droite, concert de critiques contre deux journalistes accusés de "complot" avec le PS
-
Les sachets de nicotine, prisés des jeunes, bientôt bannis
-
Serbie: 42 personnes en détention après une manifestation anti-gouvernement
-
Au Vatican, un premier pèlerinage LGBT+ pour plus de diversité dans l'Eglise
-
Equipe de France: la blessure de Dembélé jette un froid
-
Raid dans une usine américaine: plus de 300 Sud-Coréens concernés, selon Séoul
-
Pour les réassureurs, des perspectives de stabilité malgré la baisse des prix
-
Thaïlande: le Premier ministre élu s'engage à organiser de nouvelles élections
-
"La fin d'une époque": Milan rend hommage au "roi" Armani
-
Vote de confiance, J-2: projecteurs braqués sur l'après-Bayrou
-
Rugby Championship: les All Blacks viennent à bout de l'Afrique du Sud
-
L'armée israélienne appelle à l'évacuation de la ville de Gaza avant un assaut annoncé
-
Mondiaux d'athlétisme: le 400 m plat, défi "colossal" pour Sydney McLaughlin-Levrone
-
Un surfeur tué par un "grand requin" en Australie
-
Mondial-2026: l'Angleterre de Tuchel entre bilan immaculé et jeu à améliorer
-
Le Top 14 fait sa rentrée, premier choc entre Bordeaux-Bègles et La Rochelle
-
US Open: une deuxième chance pour Anisimova, la dernière de la saison pour Sabalenka
-
Le Japon célèbre la majorité du seul jeune héritier masculin au trône
-
IA et droits d'auteurs: Anthropic va verser 1,5 milliard de dollars
-
Avec son "ministère de la Guerre", Trump veut envoyer un message "de force"
-
Australie: une récompense massive offerte pour retrouver le meurtrier de deux policiers
-
La Mostra rend son verdict à l'issue d'une édition très politique
-
Milan rend hommage au "roi" Armani
-
Trump affiche sa fermeté contre le Venezuela, Maduro joue l'apaisement
-
Sydney Sweeney détaille sa métamorphose pour incarner une boxeuse dans "Christy"
-
Trump accueillera le sommet du G20 dans son golf de Miami
-
US Open: Alcaraz s'offre Djokovic et une deuxième finale à New York
-
Trump jure de "descendre" les avions vénézuéliens menaçant l'armée américaine dans les Caraïbes
Ukraine: les Européens "prêts" sur des garanties de sécurité, attendent la contribution de Trump
Les soutiens européens de l'Ukraine se sont réunis jeudi à Paris pour afficher leur détermination à lui fournir des garanties de sécurité et demander à Donald Trump quelle sera la contribution des Etats-Unis, une fois un cessez-le-feu en place.
Ce sommet d'environ 35 dirigeants, certains présents à l'Elysée et d'autres en visioconférence, "va nous permettre de finaliser les garanties de sécurité robustes pour l'Ukraine", a déclaré à l'ouverture des travaux le président français Emmanuel Macron, à la tête de la coalition avec le Premier ministre britannique Keir Starmer.
Les Européens vont acter qu'ils sont "prêts" sur l'octroi des ces garanties, pour mieux signifier qu'ils attendent désormais des gestes concrets des Américains dans le même sens.
"L'Europe est au rendez-vous, pour la première fois avec ce niveau d'engagement et d'intensité", avait annoncé mercredi Emmanuel Macron, ajoutant que le travail de "préparation" pour ces garanties était "achevé" et qu'il allait être "endossé politiquement" à la réunion.
Les alliés de l'Ukraine attendent maintenant "de voir ce que les Américains souhaitent apporter concernant leur participation", a relevé le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte.
Les Etats-Unis sont représentés à la réunion parisienne par Steve Witkoff, l'émissaire de Donald Trump. Ensuite, le président américain s'entretiendra en visioconférence avec ses homologues à l'issue de leur sommet à 14H00 (12H00 GMT).
Emmanuel Macron et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, présent à l'Elysée, donneront ensuite une conférence de presse à 15H00 (13H00 GMT).
Le président américain, se disant "très déçu" par son homologue russe Vladimir Poutine, a averti qu'il "se passerait quelque chose" si Moscou ne répondait pas à ses attentes de paix.
Les Européens vont lui demander une nouvelle fois d'augmenter la pression sur la Russie qui ne montre aucun "signe", selon le président ukrainien, de vouloir arrêter les combats, en lui imposant de nouvelles sanctions.
Outre Volodymyr Zelensky, sept dirigeants européens, dont le Premier ministre polonais Donald Tusk et la Danoise Mette Frederiksen, sont présents à l'Elysée. Keir Starmer y assiste en distanciel, de même que l'Allemand Friedrich Merz et l'Italienne Giorgia Meloni.
La "Coalition des volontaires" rassemble les soutiens militaires de l'Ukraine, pour l'essentiel européens, mais aussi le Canada, l'Australie ou le Japon.
Elle est disposée à contribuer au renforcement de l'armée ukrainienne, voire pour certains pays - dont la France, le Royaume-Uni et la Belgique - à déployer des soldats en Ukraine, une fois un cessez-le-feu conclu, pour dissuader la Russie de toute nouvelle agression.
- Réserves -
Mais certains alliés se sont montrés hésitants dans l'attente de la contribution américaine, que plusieurs pays européens jugent indispensable avant tout engagement de leur part.
Jusqu'à un cessez-le-feu, "il n'y aura certainement pas de déploiement de troupes en Ukraine et même après", a rappelé le chancelier Merz.
L'Allemagne entend plutôt contribuer au renforcement de la défense antiaérienne de l'Ukraine et à l'équipement de ses forces terrestres, ont indiqué des sources gouvernementales à l'AFP.
La Russie martèle qu'elle n'acceptera aucune "intervention étrangère quelle qu'en soit la forme", la porte-parole de sa diplomatie Maria Zakharova qualifiant les protections demandées par Kiev de "garanties de danger pour le continent européen".
"Ce n'est pas à eux de décider", a rétorqué jeudi Mark Rutte au nom de l'Otan, en déplacement à Prague.
Donald Trump a promis lors d'une réunion avec six dirigeants européens le 18 août à Washington que les Etats-Unis apporteraient des garanties de sécurité, sans préciser lesquelles.
Ce "filet de sécurité" américain, ou "backstop" en anglais, pourrait prendre différentes formes - renseignement, soutien logistique, communications -, le président américain ayant exclu l'envoi de troupes américaines au sol.
En attendant, Vladimir Poutine, qui affiche un retour en force sur la scène internationale avec une présence très remarquée mercredi aux côtés du président chinois Xi Jinping et du dirigeant nord-coréen Kim Jong Un à Pékin, après le sommet d'Anchorage le 15 août avec Donald Trump, multiplie les déclarations offensives.
Moscou atteindra ses objectifs en Ukraine par la voie militaire si les négociations avec Kiev échouent, a-t-il averti depuis la Chine, assurant que ses troupes demeuraient "à l'offensive" sur l'ensemble du front.
G.AbuHamad--SF-PST