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Dorures et provocation: Trump fait le Bureau ovale à son image
En deux mois, Donald Trump a remodelé le Bureau ovale à son image, en s'entourant d'accessoires clinquants, de préférence dorés, et de symboles plus ou moins provocateurs.
Pour y entrer, ses conseillers passent devant un portrait officiel copiant volontairement le célébrissime "mugshot" du républicain, un cliché d'identité judiciaire pris en août 2023 en Géorgie (sud).
Depuis l'investiture du 20 janvier, le sanctuaire du pouvoir présidentiel américain s'est couvert de tableaux et rempli d'ornements, qui contrastent avec le décor plus sobre de la présidence du démocrate Joe Biden.
L'ensemble rappelle le goût de l'ancien promoteur immobilier pour ce qui brille. Dans ses résidences privées, le marbre, le cristal et surtout l'or, ou du moins la couleur dorée, abondent.
- Métal jaune -
N'avait-il pas lancé sa première campagne présidentielle en 2015 en descendant un rutilant escalier mécanique doré de la Trump Tower à Manhattan?
Dans son discours d'investiture, il a promis un "âge d'or" de l'Amérique, et annoncé peu après la création d'une "carte dorée", un permis de séjour pour étrangers fortunés.
Dans le Bureau ovale, la dernière addition en date est un exemplaire de la Déclaration d'indépendance des Etats-Unis du 4 juillet 1776.
Dans une vidéo diffusée mercredi sur Fox News, le président américain montre le fragile document historique, protégé derrière des rideaux sombres.
"C'est très cool", commente-t-il en écartant le tissu.
"Cela n'a jamais été exposé", dit aussi ce dirigeant accusé par ses opposants d'avoir des penchants monarchiques, devant l'une des plus éloquentes condamnations jamais écrites de la tentation du "despotisme absolu".
- Angelots -
Flanqué de la journaliste Laura Ingraham, l'une des vedettes de la chaîne, Donald Trump poursuit la visite guidée en montrant des angelots "tout en or" qui lui appartiennent et qui ornent maintenant les portes.
Puis il montre un interrupteur rouge sur son bureau, utilisé pour demander son soda préféré, du Diet Coke. "Tout le monde croit que c'est le bouton nucléaire", lance-t-il.
Chaque président américain s'entoure de portraits de certains prédécesseurs, et la sélection renvoie toujours un message politique.
Donald Trump a choisi George Washington et Ronald Reagan ou Abraham Lincoln, mais aussi d'anciens présidents moins connus du grand public, comme Andrew Jackson (1829-1837) et James Polk (1845-1849).
Jackson est considéré par des historiens comme l'inventeur d'un populisme à l'américaine, adepte d'une conception élargie voire brutale du pouvoir présidentiel.
Polk a supervisé une immense expansion territoriale des Etats-Unis. Le choix ne peut pas être fortuit de la part de Donald Trump, qui parle constamment d'annexer le Canada et le Groenland.
Sur son bureau attend toujours un coffret d'épais feutres noirs, dont il s'est servi pour signer des décrets à la chaîne devant les caméras dès le soir de son investiture.
Lorsqu'il a rudoyé récemment le président ukrainien Volodymyr Zelensky sous les yeux du monde entier, le milliardaire avait pris place auprès d'une table basse sur laquelle étaient empilés de lourds sous-verres plaqués or.
- Trophée -
Donald Trump a aussi placé bien en évidence une grande carte du "Golfe de l'Amérique", ainsi que le 45e et 47e président des Etats-Unis a décidé de renommer le Golfe du Mexique.
A côté de sa table de travail, difficile de rater une imposante structure mécanique évidemment dorée: le trophée de la Coupe du monde des clubs, qui se jouera à partir du 14 juin aux Etats-Unis.
Ce cadeau, qui a enchanté le président américain, lui a été offert récemment par le chef de la Fédération internationale de football Gianni Infantino.
Le républicain a aligné sur le manteau de la cheminée, située face à son bureau, des statuettes et coupes étincelantes.
Ces bibelots qui proviennent des collections de la Maison Blanche ont remplacé la brassée de lierre qui était exposée là, sous des formes diverses, depuis des décennies: elle apparaît par exemple sur une photographie d'archives de Ronald Reagan et Mikhaïl Gorbatchev, alors dirigeant de l'URSS, dans le Bureau ovale.
Le Washington Post, qui a enquêté fort sérieusement sur cette disparition végétale, assure que la plante verte n'a pas été jetée ni repiquée à Mar-a-Lago, la résidence de Donald Trump en Floride, mais déplacée dans une serre de la Maison Blanche.
Q.Bulbul--SF-PST