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Pharmaciens et kinés massivement mobilisés, selon les syndicats
Les pharmaciens et les kinés participent massivement au mouvement de fermeture des officines et cabinets jeudi pour protester contre les baisses de rémunérations ou report de revalorisations annoncées par l'ex gouvernement Bayrou pour freiner le dérapage des dépenses de santé, ont indiqué les syndicats.
"Dix-huit mille pharmacies sont fermées" jeudi matin, sur environ 20.000 en France, selon Philippe Besset, président de la FSPF (fédération des pharmaciens d'officine), syndicat majoritaire de la profession.
"On est globalement tous fermés, mais les Agences régionales de santé "ont réquisitionné environ 10% du réseau", a-t-il déclaré à l'AFP.
Les pharmaciens dénoncent la baisse des taux de remise dont ils bénéficient sur les médicaments génériques, qui représentent un tiers environ de la marge de leurs officines. Depuis début septembre, le plafond autorisé pour ces remises est passé de 40% à 30% du prix fabricant hors taxes. Il doit tomber à 20% en juillet 2027.
Ils dénoncent aussi une nouvelle baisse prévue sur les prix des génériques, estimée à 50 millions d'euros sur le dernier trimestre 2025.
La participation au mouvement est également massive chez les 80.000 kinésithérapeutes libéraux, selon Sébastien Guerard, président du principal syndicat de la profession, la FFMKR.
"85% des kinés seront dans les cortèges ou participeront d'une manière ou d'une autre", a-t-il dit à l'AFP. Les cabinets ne sont toutefois pas fermés dans la même proportion, car les praticiens se relaient pour éviter la fermeture totale.
Les kinés protestent notamment contre le report au 1er janvier 2026 des hausses tarifaires qui devaient avoir lieu le 1er juillet 2025, du fait du dérapage des dépenses de santé.
Pharmaciens et kinés organisent leurs propres manifestations dans certaines villes.
A Besançon, plusieurs centaines de pharmaciens, kinés et étudiants brandissaient jeudi matin des pancartes "on n'avalera pas la pilule !".
"C'est la survie de nos officines qui est en jeu", a assuré Carole Mermet, coprésidente de la FSPF du Doubs. "Des officines ont déjà fermé, sur Besançon, je crois que c'est une dizaine".
A Paris, les pharmaciens commençaient à se rassembler à la mi-journée près du ministère de la Santé. "Dans ma petite officine de quartier", la réduction des remises commerciales représente "5.000 à 6.000 euros de pertes annuelles, soit cinq mois de loyer", a témoigné Marc Sajus, pharmacien à Courbevoie (Hauts-de-Seine). "Ceux qui ne peuvent pas faire face devront licencier... Et les patients feront la queue".
eva-vq-mlx-lby/rap/sla
Q.Jaber--SF-PST