-
La France met en garde contre l'instabilité dans les Caraïbes à l'ouverture du G7
-
"Trump est temporaire": le gouverneur de Californie vedette américaine de la COP30
-
Wall Street tirée par la fin à venir de la paralysie budgétaire
-
La paralysie budgétaire touche à sa fin aux Etats-Unis, sur fond de dissensions démocrates
-
Plus de la moitié des électeurs se sont déplacés pour les législatives en Irak
-
A la COP30, le gouverneur de Californie s'en prend à Trump
-
Masters ATP: Alcaraz entrevoit le dernier carré et le trône de N.1 mondial
-
Retraites : la CFDT appelle les députés à voter la suspension de la réforme
-
La Bourse de Paris poussée par les espoirs de fin de paralysie budgétaire aux Etats-Unis
-
Equipe de France: Upamecano au sommet de son art
-
A la COP30, le gouverneur de Californie s'en prend à Donald Trump
-
La Russie propose le dialogue à Washington après les propos de Trump sur les "essais nucléaires" secrets russes
-
Masters ATP: Alcaraz se sort du piège Fritz
-
Prises de bénéfices à Wall Street dans un marché peu fréquenté
-
Naufrage au large de la Malaisie: "j'ai vu un enfant se noyer", témoigne un rescapé
-
La demande de suspension de la plateforme Shein en France examinée par le tribunal de Paris le 26 novembre
-
Turquie: le maire d'opposition d'Istanbul poursuivi pour 142 infractions
-
A Niagara, un G7 élargi cherchera une réponse commune sur l'Ukraine face à Moscou
-
Des députés britanniques s'inquiètent du sort de manchots de l'Aquarium de Londres
-
Son DG démissionnaire appelle la BBC à "se battre" pour défendre son journalisme
-
Manifestation à Belgrade contre un projet immobilier du gendre de Trump
-
Douze morts dans un attentat-suicide des talibans pakistanais à Islamabad
-
La BBC doit "se battre" pour défendre son journalisme, dit le DG sortant
-
Première victoire judiciaire des auteurs allemands contre OpenAI
-
Vietnam: un typhon fait apparaître une épave ancienne au large d'un port historique
-
Birmanie: démolition partielle d'un centre d'arnaques après des raids de la junte, selon des images satellites
-
OpenAI a enfreint les droits d'auteurs de chansons, estime la justice allemande
-
Philippines: le typhon Fung-wong fait 25 morts, Taïwan en alerte
-
Après la dermatose, les éleveurs des Alpes reconstituent leurs troupeaux
-
Foot: Cristiano Ronaldo affirme que le Mondial-2026 sera "à coup sûr" son dernier
-
Macron commémore le 11-Novembre et honore les incorporés de force dans l'armée allemande
-
Au large d'îles taïwanaises, les garde-côtes à l'affût des intrusions chinoises
-
En Irlande, la bataille pour le climat se joue dans les champs
-
En Israël, Hadar Goldin inhumé 11 ans après avoir été tué à Gaza
-
Pakistan: 12 morts dans un attentat-suicide à Islamabad
-
Le pouvoir "immense" des entreprises, préoccupation "majeure" pour le chef des droits de l'homme de l'ONU
-
Du cinéma muet à la téléréalité, la place unique des mormons dans la culture américaine
-
Le Premier ministre indien qualifie l’explosion meurtrière à Delhi de "complot"
-
Abdeslam envisage une démarche de justice restaurative avec des victimes du 13-Novembre, selon son avocate
-
L’injection de requêtes, nouvelle arme des pirates pour contrôler votre IA
-
Plus de risques et moins de solutions: l'angoisse des betteraviers français
-
La Bourse de Paris ouvre en hausse pour une séance au ralenti
-
En marge de la COP30, une favela de Belem étouffe
-
"Le sang coulait encore": le calvaire des réfugiés d’El-Facher arrivés au Tchad
-
Dix ans après le 13-Novembre, la Croix-Rouge face aux cicatrices de la "médecine de guerre"
-
L'Inde promet que les responsables de l’explosion d'une voiture à Delhi seront jugés
-
Pérou: saisie de plus de six tonnes d'ailerons de requins destinés à l'Asie
-
Ligue des champions féminine: le redoutable Wolfsburg pour l'OL, déplacements relevés pour le PSG et le PFC
-
NBA: les Pistons enchaînent une 7e victoire, Wembanyama tire les Spurs
-
IA, robots et quantique au cœur du Web Summit de Lisbonne
Corée du Sud: le chef de la sécurité présidentielle démissionne
Le chef du service de sécurité du président sud-coréen déchu Yoon Suk Yeol, dont l'équipe a empêché son arrestation par des enquêteurs il y a une semaine, a démissionné vendredi, a annoncé le bureau du chef de l'Etat par intérim Choi Sang-mok.
Le 3 janvier, les gardes du corps de M. Yoon avaient formé une chaîne humaine pour bloquer l'accès aux procureurs du Bureau d'enquête sur la corruption des hautes personnalités (CIO) et aux policiers, venus se saisir de M. Yoon dans sa résidence de Séoul, où il est retranché depuis des semaines.
Park Chong-jun, chef du Service de sécurité présidentiel (PSS), a présenté sa démission vendredi matin "alors qu'il prenait part à un interrogatoire policier", a affirmé un responsable du PSS à l'AFP.
Celle-ci a ensuite été acceptée par le président intérimaire Choi Sang-mok, a précisé le bureau de ce dernier à des journalistes.
La police et les enquêteurs s'apprêtent de leur côté à tenter de nouveau d'arrêter M. Yoon grâce à un nouveau mandat d'arrêt obtenu mardi. Le CIO a dit s'y préparer "minutieusement", et la police a organisé vendredi à cet effet une réunion de préparation, selon l'agence Yonhap.
"En aucun cas il ne doit y avoir d'affrontements physiques ou d'effusion de sang" en cas de nouvelle tentative d'arrestation, a appelé vendredi Park Chong-jun, face à la presse.
Le président déchu refuse d'être interrogé sur sa tentative manquée d'imposer la loi martiale le 3 décembre, qui a plongé la Corée du Sud dans une grave crise politique et lui vaut d'être sous le coup d'une enquête pour "rébellion", un crime passible de la peine de mort.
- Interrogatoire -
Depuis que son équipe a empêché les enquêteurs d'arrêter M. Yoon, M. Park a ignoré à deux reprises les convocations de la police, qui souhaitait l'interroger sur des allégations d'obstruction. La police l'a menacé d'un mandat d'arrêt s'il ne se présentait pas à l'interrogatoire vendredi.
Mardi, le CIO a obtenu un nouveau mandat d'arrêt à l'encontre de M. Yoon, après l'expiration la veille d'un premier mandat de sept jours.
Les avocats de M. Yoon soutiennent que le mandat d'arrêt est "invalide et illégal" et contestent la compétence du CIO pour enquêter sur cette affaire. Ils ont affirmé que leur client n'obtempérerait pas plus au second mandat d'arrêt qu'au premier.
De l'autre côté, les détracteurs du dirigeant de droite, élu en 2022, s'impatientent et manifestent aussi régulièrement pour exiger son arrestation.
L'ex-procureur vedette de 64 ans reste officiellement le président du pays, et n'est que suspendu en attendant que la Cour constitutionnelle valide ou non sa destitution, votée le 14 décembre par l'Assemblée nationale.
- Procès mardi -
La Cour a fixé à mardi le début du procès en destitution, qui se déroulera même si le principal intéressé ne se présente pas.
La Cour a 180 jours à compter du 14 décembre, date à laquelle elle a été saisie de l'affaire, pour décider de démettre définitivement M. Yoon ou de le rétablir dans ses fonctions de président.
Si les enquêteurs réussissent à exécuter leur mandat d'arrêt, Yoon Suk Yeol deviendra le premier président sud-coréen en exercice à être arrêté.
La garde rapprochée de M. Yoon a renforcé la sécurité dans son complexe résidentiel du quartier chic de Hannam en installant des barbelés et des barrages de bus devant la grille d'entrée.
Depuis le 31 décembre, des centaines de partisans du président déchu manifestent jour et nuit à proximité de sa résidence, bravant des températures glaciales.
Les avocats de M. Yoon ont déclaré vendredi que des gardes "restent en alerte 24 heures sur 24, sept jours sur sept" en vue d'une nouvelle tentative d'arrestation "en dépit d'une pression et d'un stress immenses".
Ils ont également affirmé plus tôt que le président déchu se trouvait toujours à l'intérieur de sa résidence et qu'il pourrait comparaître au procès devant la Cour constitutionnelle.
Les sondages montrent que le taux d'approbation du Parti du pouvoir au peuple (PPP) de M. Yoon augmente au fur et à mesure que la crise s'éternise.
Selon un nouveau sondage Gallup publié vendredi, la cote d'approbation du PPP est passée de 24% il y a trois semaines à 34%, tandis que celle de l'opposition a chuté de 48% à 36%.
G.AbuGhazaleh--SF-PST