-
Tanzanie : la présidente investie malgré les violences électorales
-
Espagne: ouverture du procès sans précédent du Procureur général de l'Etat
-
Inondations en Espagne: un an après, le président de la région de Valence finit par démissionner
-
Budget: incertitude totale sur les délais comme sur les votes
-
La Turquie mobilise ses partenaires musulmans autour de Gaza
-
La Bourse de Paris dans le vert après une semaine terne
-
Poupées à caractère pédopornographique: si récidive, Lescure veut l'interdiction d'accès de Shein en France
-
Les Bourses européennes prudentes et partagées à l'ouverture
-
"Ce n'est pas un caprice": quand les Antillais partent se faire soigner dans l'Hexagone
-
Une mode durable et responsable: le mantra des créateurs de la Fashion Week de Lagos au Nigeria
-
NBA: Wembanyama se rate à Phoenix, première défaite des Spurs
-
L'Afghanistan de nouveau frappé par un séisme, plus de 20 morts
-
Neuf morts dans un séisme dans le nord de l'Afghanistan
-
La Turquie réunit ses partenaires musulmans autour de Gaza
-
Procès Le Scouarnec: une nouvelle audience pour l'indemnisation des victimes
-
Procès sans précédent en Espagne: le procureur général sur le banc des accusés
-
Les députés s'apprêtent à baisser le rideau sur la partie "recettes" du budget de l'Etat
-
Assassinat de l'avocat corse Sollacaro en 2012: trois membres présumés du Petit Bar jugés
-
Top 14: les Rochelais d'Alldritt trop costauds pour le Racing 92
-
Ligue 1: Lens remonte sur le podium, Beye reste sur le banc rennais grâce à Lepaul
-
Italie: l'Inter et l'AC Milan reviennent sur les talons de Naples
-
JO: Charles Coste, de Londres à la lumière
-
Eliud Kipchoge va disputer 7 marathons sur 7 continents de 2026 à 2027
-
Ligue 1: Lens se défait de Lorient et retrouve le podium
-
Ukraine: six morts dans des frappes russes, Kiev cible un port pétrolier
-
Masters WTA: Sabalenka réussit son entrée, Gauff tombe face à Pegula
-
Ophélie version pop : des fans de Taylor Swift envahissent un musée allemand
-
Battus et insultés, des rescapés racontent leur détention au Darfour
-
Sacré au Masters 1000 de Paris, Sinner reprend place sur le trône de N.1
-
Marathon de New-York: la Kényane Obiri s'impose une 2e fois en un temps record
-
Italie: l'Inter Milan retrouve les sommets, la Fiorentina en crise
-
L1: Lepaul et Rennes chassent les nuages contre Strasbourg
-
Soudan: le pape dénonce les "souffrances inacceptables" de la population
-
Tennis de table: Alexis Lebrun s'arrête avant la finale à Montpellier
-
Israël menace d'intensifier les attaques contre le Hezbollah dans le sud du Liban
-
L'Inde place sur orbite avec succès un gros satellite de télécommunications
-
Ukraine: six morts dans une attaque russe, Kiev frappe un port sur la Mer Noire
-
Tennis: Alizé Cornet nommée capitaine de l'équipe de France de Billie Jean King Cup
-
"Je ne peux pas manger": des millions d'Américains privés d'aide alimentaire à cause de la paralysie budgétaire
-
XV de France: Léo Barré remplace Joris Segonds dans les 42 pour l'Afrique du Sud
-
En Corée du Sud, des morts solitaires et tout un business derrière
-
Vol au Louvre: ce que l'on sait, après les nouvelles mises en examen
-
Dernière ligne droite dans la très suivie course à la mairie de New York
-
Pollution de l'air: à New Delhi, ces douteux tests de pluie artificielle
-
Nouvelle ruée vers l'or en Californie, face à l'envolée des cours
-
"In Waves and War", l'odyssée de vétérans traumatisés, convertis aux psychédéliques
-
Pessimistes, les Français dépensent au compte-gouttes
-
Hautes-Alpes: l'ex-station de ski de Céüze rend son site à la nature
-
Dans le marais de Brière, des chênes enfouis témoins de l'histoire du climat
-
Policiers de Bobigny mis en examen pour viols: une vidéo retrouvée sur le portable de l'un d'eux
France bloquée: qui gouverne?
La France s’est réveillée le 10 septembre 2025 avec des opérations escargot, des barrages filtrants et des voies ferrées ralenties. Sous la bannière « Bloquons tout », la colère sociale a convergé avec la crise institutionnelle : deux jours plus tôt, le gouvernement avait été renversé à l’Assemblée nationale. Dès le lendemain, un nouveau chef du gouvernement était nommé, missionné pour arracher un budget et une majorité introuvables. Blocage social, blocage parlementaire, blocage budgétaire : le pays avance au pas de charge sur une ligne de crête.
D’où vient l’impasse ?
La séquence s’est ouverte lorsque l’exécutif a provoqué des législatives anticipées à l’été 2024. Le scrutin des 30 juin et 7 juillet a débouché sur une Assemblée sans majorité, structurée en trois blocs antagonistes. Après une phase de tractations avortées, un chef du gouvernement a été nommé à la rentrée 2024. Quelques mois plus tard, un nouveau cabinet a tenté d’imposer une trajectoire de redressement des comptes publics ; il a fini renversé par un vote de défiance le 8 septembre 2025. Le 9 septembre, un autre Premier ministre a pris la tête de l’exécutif : cinquième à occuper Matignon en moins de deux ans, il assume un double mandat – trouver des compromis parlementaires et ramener de la lisibilité économique avant la fin de l’année.
La stratégie Macron : tenir le centre, passer le budget, contenir la rue
Le cap présidentiel repose sur trois leviers. D’abord, tenir le cœur de l’échiquier en privilégiant un profil loyal et « transversal » à Matignon, supposé parler à droite modérée tout en négociant au cas par cas avec des sociaux‑démocrates. Ensuite, sécuriser les comptes publics : l’exécutif veut ramener le déficit sur une trajectoire compatible avec les engagements européens, alors que le service de la dette pèse lourdement et que la croissance ralentit. Enfin, désamorcer la conflictualité sociale : certaines mesures les plus clivantes annoncées au cœur de l’été – comme la suppression de jours fériés – sont déjà réévaluées, signe que la majorité cherche une voie praticable sans rallumer l’incendie.
Une rue mobilisée mais hétérogène
Le 10 septembre 2025, l’Intérieur a recensé environ 175 000 participants dans plus de 500 rassemblements et plus de 250 blocages, avec des centaines d’interpellations sur l’ensemble du territoire. Les chiffres revendiqués par les syndicats sont plus élevés. La sociologie du mouvement est composite : jeunesse précarisée, salariés du public et du privé, militants syndicaux et collectifs locaux. Son mot d’ordre – « bloquer » – agrège des colères multiples : pouvoir d’achat, réforme des retraites non digérée, crainte d’un « tour de vis » budgétaire, et rejet d’un système politique perçu comme sourd.
Ce que propose Matignon
Le nouveau Premier ministre promet un « changement de méthode » : audit des marges de manœuvre, consultations tous azimuts (groupes parlementaires, partenaires sociaux, collectivités) et priorité absolue au budget. Dans les faits, il doit bâtir une majorité de circonstance texte par texte, se reposer sur les outils constitutionnels à disposition pour les lois financières, et n’exclut pas d’amender fortement l’architecture des économies afin de rallier des voix hors de la coalition présidentielle. Reste une équation périlleuse : préserver la crédibilité financière du pays sans casser la demande, ni braquer des partenaires dont il a besoin.
La riposte des oppositions
La gauche réunie au sein d’une alliance réaffirme sa légitimité parlementaire et rappelle qu’elle avait proposé une personnalité « neutre » de la société civile pour Matignon après les législatives de 2024. Les socialistes, charnière potentielle, exigent des inflexions nettes : pouvoir d’achat, fiscalité plus progressive, services publics. La France insoumise annonce la menace de motions de censure si la « nouvelle méthode » ne s’incarne pas sur le fond. À l’autre pôle, le Rassemblement national réclame une dissolution et juge que tout « maquillage » de la ligne précédente sera voué à l’échec, tout en laissant planer l’idée d’un soutien conditionnel à des mesures de rigueur ciblées si elles croisent ses priorités. Les Républicains, enfin, sont partagés entre coopération pragmatique et opposition dure.
Les chiffres qui pèsent
La dette publique flirte avec environ 114 % du PIB et le déficit reste nettement au‑dessus du seuil de 3 % ; la charge d’intérêts pèse une part croissante du budget. Les agences de notation maintiennent une pression explicite : à défaut d’une trajectoire crédible et votée, le risque de dégradation plane, avec des conséquences sur le coût de financement et l’investissement. C’est dans ce contexte que l’exécutif entend recaler le budget 2026 – en le rendant votable – d’ici au 31 décembre.
Pays-Bas: Frans Timmermans veut "devenir Premier ministre!
Ukraine: Terreur russe contre Odessa et Mykolaïv
Sánchez: Un mandat de progrès, de crises, de pandémie et de controverses
Russland als Terror-Staat / Russia as a terror state!
Ukraine in the fight against the russian terror State
The Russian terrorist state will never own Ukraine!
ATTENTION, ATENCIÓN, УВАГА, ВНИМАНИЕ, 注意事项, DİKKAT, 주의, ATENÇÃO
BRAVO: This is how the Russian scum in Ukraine ends!
Video, ビデオ, 视频, Відео, 비디오, Wideo, 動画, Βίντεο, Видео!!
UKRAINA, Україна, Украина, Ucraina, ウクライナ, Ουκρανία, 우크라이나, Ucrânia, 乌克兰, Ukrayna
Ukraine: War terror of the russian army!