-
Hong Kong: Jimmy Lai "commentait" juste l'actualité, plaide son avocat
-
Fabio, le gardien brésilien phénomène de longévité
-
L'Anglaise doyenne de l'humanité fête ses 116 ans
-
Six mois après son interdiction, la puff toujours aussi facile à trouver pour les ados
-
Zelensky attend les garanties de sécurité, avant une rencontre avec Poutine
-
"JP", streamer à succès vivant sa "meilleure vie" ou gars "trop gentil manipulé" ?
-
F1: la Malaisie exclut de relancer son GP pour des raisons de coût
-
L'armée israélienne resserre son étau sur la ville de Gaza
-
Il n'existe pas une espèce unique de girafes mais quatre
-
Sous pression de Trump, le Texas va adopter une nouvelle carte électorale
-
Ethiopie: RSF demande la "libération immédiate" de deux journalistes arrêtés
-
Copa Sudamericana: 10 blessés et 90 arrestations lors du match Independiente-Universidad de Chile
-
Au Kenya, guerre en ligne contre les opposants au gouvernement
-
Thaïlande: la Première ministre suspendue témoigne à son procès en destitution
-
Des batteries de voitures reconditionnées pour la transition énergétique de l'Allemagne
-
Des Soudanais s'attellent à la reconstruction de Khartoum ravagée par la guerre
-
L'Afrique peut devenir une "superpuissance du renouvelable", dit Guterres
-
Contamination au cadmium: gare à l’abus de chocolat, avertit l’UFC-Que Choisir
-
US Open: les spécialistes Errani et Vavassori gagnent le double mixte revisité
-
Hong Kong: la défense de Jimmy Lai s'exprime lors des plaidoiries finales
-
A Strasbourg, les Ecologistes défendent l'unité de la gauche en vue de la présidentielle
-
Foot: Peter Shilton félicite le brésilien Fabio pour avoir battu son record de matches joués
-
Athlétisme: la pluie douche les espoirs de chronos à Lausanne, Hodgkinson et Seville solides
-
Wall Street attentiste avant Jackson Hole, la tech en berne
-
PlayStation, Pepsi et d'autres augmentent leurs prix à cause des droits de douane américains
-
L'ouragan Erin se renforce à l'approche des côtes américaines, qu'il doit longer
-
En déménageant, le prince William sème le doute sur l'avenir du palais de Buckingham
-
Washington vise de nouveau la CPI pour ses enquêtes impliquant Etats-Unis et Israël
-
L1: Quel avenir pour Adrien Rabiot, poussé dehors par l'OM ?
-
La Bourse de Paris termine à l'équilibre avant Jacskon Hole
-
Le canal de Panama prévoit une baisse de ses recettes en raison de "l'incertitude" économique mondiale
-
Electricité bas carbone: l'Inde franchit un cap mais la route vers la neutralité sera longue
-
Antarctique: des changements "abrupts" en cours, alertent des chercheurs
-
Jean-Pierre Papin rejoint RMC comme consultant
-
Comment l'Europe cherche à parler le Trump
-
Chikungunya, dengue, West Nile... Les cas continuent à augmenter en métropole
-
Rentrée scolaire: la CGT appelle à boycotter les fournitures du groupe Hamelin
-
Wall Street évolue en baisse, attend un signe de la Fed
-
L1: Longoria justifie la mise à l'écart de Rabiot par "un événement d'une violence extrême"
-
USA: Trump appelle à la démission d'une responsable de la Réserve fédérale
-
La Russie met en garde contre toute garantie pour l'Ukraine qui ignorerait ses intérêts
-
En Alsace, la FNSEA retire l'acétamipride des supermarchés
-
Gamescom: l'éditeur Kepler sur orbite avec les succès de "Expedition 33" et "Rematch"
-
Nombre record de cas de maladies transmises par des moustiques en Europe, selon une agence de santé
-
Dans l'Aude, le travail de fourmi des enquêteurs pour élucider les incendies
-
Sueur, soleil et discipline: l'armée chinoise répète son grand défilé
-
A la maternité du CHU de Toulouse, le défi d'être enceinte en période de canicule
-
Interdire les importations de produits traités à l'acétamipride: une option "compliquée"
-
L'ouragan Erin, moins puissant, continue de menacer la côte est américaine
-
Royaume-Uni: l'inflation accélère encore en juillet, à 3,8% sur un an
Trump et le Meurtrier Poutine
Le rendez-vous a eu lieu sur une base militaire à Anchorage, en Alaska. Les deux dirigeants ont voulu tester la possibilité d’un cadre politique pour mettre fin à la guerre en Ukraine. À l’issue des échanges, aucun accord formel n’a été annoncé, mais chacun a envoyé des signaux sur ses lignes rouges et ses marges de manœuvre.
Ce qui s’est joué derrière les portes closes
Le président américain a parlé de « progrès » et d’une « chance réelle » d’aboutir, tout en reconnaissant que le point central restait non résolu. La rhétorique a laissé entendre qu’un compromis exigerait des concessions douloureuses de la part de Kyiv. Le président russe, de son côté, a évoqué une « compréhension » sans en détailler le contenu, suggérant un gel des combats assorti de conditions territoriales.
La position de Kyiv reste ferme
Le pouvoir ukrainien répète qu’aucune cession de territoire n’est acceptable sans changements constitutionnels lourds, et qu’un éventuel arrêt des hostilités doit s’accompagner de garanties de sécurité solides et vérifiables. L’entourage du président ukrainien a fait savoir qu’il écouterait, mais qu’il refuse un « simple répit » qui laisserait la Russie mieux placée pour reprendre la guerre plus tard.
Un trilogue encore incertain
L’idée d’une rencontre élargie incluant le président ukrainien a circulé, mais n’a pas été confirmée. Moscou, tout en disant soutenir la poursuite des discussions, n’a pas pris d’engagement public sur un sommet à trois. Washington, lui, prépare des échanges séparés avec Kyiv et des alliés européens pour jauger l’espace d’un compromis.
Pourquoi l’Alaska ?
Choix symbolique et pratique : terrain américain, mais plus proche de la Russie que la côte Est ; environnement hautement sécurisé d’une base militaire ; logistique simplifiée pour des délégations nombreuses et un dispositif médiatique mondial. Le lieu a aussi une portée stratégique, l’Arctique redevenant un théâtre de rivalités où Washington et Moscou s’observent.
Réactions aux États-Unis et à l’international
Les soutiens de la Maison-Blanche y voient une tentative pragmatique d’arrêter une guerre coûteuse et risquée pour la sécurité européenne. Les critiques jugent que parler de « faire un deal » risque d’encourager des demandes accrues de Moscou et d’affaiblir la position de négociation de Kyiv. En Europe, plusieurs capitales insistent sur deux principes : pas de paix sans justice pour l’Ukraine, et pas de garanties vagues qui laisseraient un conflit gelé.
La scène à Anchorage : protocole, messages et anecdotes
La journée a alterné séances à huis clos et brèves déclarations. En marge, une anecdote a retenu l’attention : un habitant d’Anchorage s’est vu offrir une moto Ural neuve par la délégation russe, clin d’œil inattendu qui contraste avec la gravité des enjeux. La ville a aussi connu rassemblements et contre-rassemblements, signe d’une opinion américaine partagée sur la meilleure voie vers la paix.
Ce qui peut suivre et était-il judicieux de donner une telle tribune publique au meurtrier de masse, criminel de guerre et dictateur russe sans scrupules, Vladimir Poutine (72 ans) ?
La prochaine étape dépend d’un faisceau de conditions : garanties concrètes pour la sécurité de l’Ukraine, paramètres territoriaux, mécanismes de vérification, soutien des alliés et calendrier. Sans ces briques, aucune déclaration d’intention ne suffira. Avec elles, un cessez-le-feu supervisé pourrait devenir négociable — à la condition que Kyiv y voie un bénéfice durable, et non une trêve précaire.

¡La escoria rusa bombardea Ucrania!

La Guinée équatoriale abolit la peine de mort

En direct | ONU: Les arrivées des dirigeants

L'Italie face au chaos financier: Les fonds européens ne suffisent pas

LIVE: Funérailles de la Reine Elizabeth II

DIRECT: Adieu à la reine Elizabeth II

Grande-Bretagne: Le cercueil d'Elizabeth II exposé à Edimbourg

Elections suédoises: Avantage à la gauche, l'extrême droite gagne aussi

L'Ukraine a repris 3 000 km2 aux hordes terroristes russes

Les indépendantistes catalans divisés pour leur défilé annuel

Joe Biden dénonce "l'extrémisme" de Donald Trump
