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Euroligue: Monaco sous le signe du "V" Spanoulis
L'entraîneur de Monaco Vassilis Spanoulis a abordé sa carrière de coach avec la même soif de victoire et exigence que celle qui l'a porté tout en haut du basket-ball européen, lui valant le surnom de "V-Span" pour sa capacité à être décisif dans les moments importants.
Le Grec a embrassé une carrière sur le banc en 2021 sitôt terminée celle de joueur, refusant que ses six enfants le voient "allongé sur un canapé, paresseux", ainsi qu'il le racontait à l'AFP il y a un mois.
L'ancien meneur, aujourd'hui âgé de 42 ans, aurait pourtant pu s'accorder un peu plus d'un repos bien mérité après avoir écumé les parquets chez les professionnels pendant plus de 20 ans.
Plus de deux décennies lors desquelles il a raflé tous les titres collectifs (trois Euroligues, deux avec l'Olympiakos et une avec le Panathinaikos; un Euro avec la Grèce) et les honneurs personnels (triple MVP du Final Four de l'Euroligue, le seul avec Toni Kukoc) pour devenir une légende du basket-ball européen.
Troisième meilleur marqueur et quatrième meilleur passeur de l'histoire de l'Euroligue, Spanoulis est l'idole de Luka Doncic, qui porte le numéro 77 en référence à son N.7 avec l'Olympiakos, qu'il retrouve vendredi à Abou Dhabi en demi-finales de l'Euroligue.
- "Il mange et dort basket" -
Le Grec a un mouvement à son nom, la "Spanoulis Action", si souvent utilisée pour se démarquer et planter l'un de ces tirs décisifs qui lui ont aussi donné le surnom de "Kill Bill".
"Ce surnom vient de ma mentalité, de mes shoots importants. Parfois j'utilise mon expérience. Mais je n'aime pas parler de moi. En revanche, inspirer la nouvelle génération, voir que d'autres utilisent mes mouvements, faire aimer le basket, j'en suis très fier. C'est le plus grand trophée de ma vie, consacrée à ce sport" expliquait-il encore à l'AFP.
Une vie dédiée à la balle orange depuis son enfance à Larissa, dans le centre de la Grèce, et où la défaite est honnie.
"Il veut tout gagner et il ne dort pas: il mange basket, il dort basket. Même les assistants coachs disaient qu’à chaque fois qu'ils parlaient de la famille, des vacances tout ça, lui revenait parler basket", racontait en février au site spécialisé euroleague-france Sylvain Francisco, meneur international français entraîné par Spanoulis à Peristeri (Grèce) en 2022-2023.
- "Je suis direct" -
C'est là qu'il a commencé sa carrière d'entraîneur, avec la même réussite (entraîneur de l'année 2024 en Ligue des champions, la C3) et la même mentalité que quand il jouait.
S'ils ne la connaissaient pas, les joueurs monégasques ont été rapidement mis au parfum, dès le premier entraînement où, devant la caméra du club, il a fixé le cap: "On est là pour gagner des trophées pas pour autre chose, on n'est pas là pour les statistiques (personnelles)."
Avant de significativement hausser le ton de sa voix rauque avec laquelle il lui arrive de houspiller ses ouailles pendant les temps morts: "On a de grands joueurs, un super puzzle. Ce puzzle doit être au service de l'équipe. Chacun doit travailler dur pour réussir ensemble, la gloire et l'argent viendront ensuite."
"Comme quand j'étais joueur, je suis direct. Ce n'est jamais personnel, uniquement pour améliorer le collectif et les individualités. Mon message doit donc être clair" expliquait-il à l'AFP en avril.
Ce message, il le martèle depuis son arrivée: le basket-ball est à l'inverse du "tennis" un "jeu collectif, pas individuel", où il convient de défendre ensemble et avec acharnement.
Et de se faire des passes en attaque. Comme celle, restée dans les mémoires, adressée à Georgios Printezis, mieux placé pour crucifier le CSKA Moscou au buzzer avec l'Olympiakos en finale de l'Euroligue 2012 alors qu'il aurait pu tenter d'y aller seul.
D.Khalil--SF-PST