
-
US Open: Djokovic bousculé, Draper forfait, Ruud éliminé
-
US Open: Bonzi et Rinderknech s'affronteront pour une place en huitièmes
-
Mondiaux de badminton: Christo et Toma Popov opposés aux N.1 et 2 mondiaux en huitièmes
-
Argentine : des projectiles lancés en direction du président Milei exfiltré et indemne
-
Wall Street termine en hausse avant les résultats de Nvidia
-
US Open: Djokovic bousculé, Draper forfait, Alcaraz et Sabalenka attendus en soirée
-
Nucléaire: pour l'Iran, le retour des inspecteurs de l'AIEA ne marque pas une reprise complète de la coopération
-
Les défenseurs des pangolins veulent plus d'études pour mieux les protéger
-
Sidérurgie, métallurgie: Triste rentrée en France
-
Mondiaux de badminton: Christo Popov face au N.1 mondial en huitièmes
-
Trail: à 39 ans, le champion de l'UTMB François D'Haene a "toujours la même envie"
-
Les nouveaux trains d'Alstom entrent en service entre Boston et Washington
-
Tour d'Espagne: UAE remporte le contre-la-montre par équipes, Vingegaard reprend le maillot rouge à Gaudu
-
Abattage d'un olivier rendant hommage à Ilan Halimi: deux hommes interpellés
-
Allemagne: inauguration de la future plus grande usine de munitions d'Europe pour réarmer le continent
-
Un tireur tue deux écoliers et en blesse 14 autres dans une église à Minneapolis
-
Hongrie : une vidéo d'un "palais" de la famille Orban atteint 700.000 vues
-
Toni, hippopotame pygmée, nouvelle recrue du zoo de Mulhouse
-
Israël intensifie ses opérations autour de Gaza-ville, réunion à la Maison Blanche
-
La Bourse de Paris s'octroie une pause après avoir perdu plus de 3% en deux jours
-
L'Europe se réarme à coups d'obus de l'Allemand Rheinmetall
-
Le Danemark présente ses excuses aux victimes de la contraception forcée au Groenland
-
Le Medef tance les décideurs politiques, et met un veto au retour de l'ISF
-
Orages: 28 départements en vigilance orange, une femme tuée par une chute d'arbre
-
Budget: les syndicats veulent mobiliser ensemble, mais sont divisés sur le 10 septembre
-
Royaume-Uni: accusé de viol, Paul Gallagher, frère de Liam et Noel, devant la justice
-
Visé par une enquête pour violences conjugales, le chef Jean Imbert se met "en retrait" de ses établissements
-
Wall Street ouvre en petite baisse, suspendue aux résultats de Nvidia
-
Kenya: un célèbre militant très critique du président Ruto annonce sa candidature pour 2027
-
Mondial-2026/qualifications: Rabiot appelé avec les Bleus, première pour Akliouche
-
Top 14: Atonio, devenu entraîneur-joueur, rêve encore du Mondial-2027
-
Taïwan: trois personnes inculpées pour avoir volé des secrets commerciaux à TSMC
-
Equateur: comment le crime et l'extorsion ont éteint la fête à Guyaquil
-
En Alsace, l'incroyable montage d'une fidèle réplique de tour Eiffel
-
Le Kremlin "défavorable" au déploiement de troupes européennes en Ukraine
-
Vote de confiance: Macron en "soutien total" au choix de Bayrou
-
Inde: des inondations et glissements de terrain font au moins 30 morts dans le nord-ouest
-
Tatouages, piercings: plus que deux mois d'attente pour donner son sang
-
Israël intensifie ses opérations près de Gaza-ville, réunion à la Maison Blanche
-
Cisjordanie: nouvelle opération militaire israélienne à Naplouse
-
Le chikungunya toujours sur une pente croissante dans l'Hexagone
-
Eurobasket-2025: l'"Ours dansant" Yabusele impose un peu plus sa patte
-
Spatial: la start-up allemande Isar Aerospace décroche son premier contrat avec l'ESA
-
La "REF" du Medef s'ouvre, à nouveau sous le signe de l'inconnue politique
-
Pékin glorifie le rôle des communistes pour les 80 ans de la victoire de 1945
-
Argentine: contre l'obsolescence électronique, un collectif recycle et innove
-
Eurobasket-2025: l'"Ours dansant" Yabusele apporte un peu plus sa patte
-
Au Danemark, la découverte d'un premier "portrait" d'un Viking
-
La Bourse de Paris prudente, entre budget et Nvidia
-
Foetus et squelettes: dans un musée américain, des restes humains au coeur d'un débat éthique

C1: Luis Enrique, la 100e rugissante sur le banc du PSG
L'entraîneur Luis Enrique traverse une période radieuse au moment de s'asseoir sur le banc du Paris SG pour la 100e fois, mercredi (21H00) au Parc des Princes pour le quart de finale aller de Ligue des champions contre Aston Villa.
D'abord le staff, puis les joueurs, se sont employés à soulever et jeter en l'air un Luis Enrique hilare, samedi au coup de sifflet final de la victoire du titre en Ligue 1 contre Angers (1-0)... Ils ne s'y trompaient pas: le coach est le grand artisan des résultats du club cette saison.
Kylian Mbappé parti au Real Madrid, les observateurs s'interrogeaient sur la capacité du PSG à combler un vide de quarante buts par saison... L'inefficacité face au but de la première partie de saison en Ligue des champions a semblé donner corps à ces doutes. Luis Enrique apparaissait alors frustré et grinçant en conférence de presse, réduisant ce manque de réalisme à de la malchance.
Mais c'était avant la période de rêve vécue par le club depuis décembre: une pluie de victoires et de buts marqués par une large panoplie de joueurs, une domination dans le jeu, deux grandes confrontations contre Manchester City (4-2) et Liverpool (0-1, 1-0 qualification aux tirs aux buts à Anfield), l'invincibilité en championnat...
Des résultats qui ont détendu l'entraîneur, devenu souriant et taquin. Comparée à l'an dernier, "cette saison est clairement meilleure, pas seulement statistiquement, mais aussi grâce à la capacité que l'équipe a de renverser les situations", "quand elle a été dos au mur" en première phase de Ligue des champions, souligne Luis Enrique.
- "Grand moment" -
On sent aussi le coach enivré par la profondeur avec laquelle ses idées de jeu si particulières ont pénétré ses joueurs. Possession à tout prix, pressing frénétique, étirement de la défense adverse... Ce PSG n'a plus rien à voir avec celui de Christophe Galtier, articulé autour des stars Messi-Neymar-Mbappé.
"Voir l'équipe jouer collectivement et savoir attaquer et défendre tous ensemble, ce n'était pas une utopie", se réjouit Luis Enrique. "C’est un grand moment pour moi mais il reste les deux derniers mois de compétition et ils sont cruciaux".
Car se relâcher n'est pas le genre de l'intransigeant Espagnol. Lorsqu'un joueur enchaîne les belles performances, il se charge de le ramener sur terre, à l'entraînement ou indirectement en conférence de presse. A l'inverse, il ne trahira jamais devant les médias sa déception sur un joueur défaillant, comme lorsqu'il a dit avoir "toute sa confiance" en Lucas Beraldo, pas toujours très fiable en défense.
"Le coach est toujours derrière nous, qu'on gagne ou que l'on perde, pour chercher des choses à améliorer", explique le capitaine Marquinhos, qui a pu comparer les nombreux coaches qui se sont succédé depuis son arrivée au club en 2013.
- "Le boss" -
"Il n'est pas usant, il est derrière nous, on a confiance en lui", témoigne le jeune ailier Bradley Barcola, devenu co-meilleur passeur de France sous les ordres de Luis Enrique (9). "On a énormément de liberté, on a des consignes mais ce qu'il nous dit le plus c'est d'avoir la liberté de bouger partout, de prendre l'espace".
"Il essaie toujours de dire les choses de manière positive. Il nous parle en permanence, surtout des détails qui sont importants", rapporte aussi Willian Pacho, arrivé l'été dernier.
"C'est lui le boss, on suit ses idées", résume le défenseur international français Lucas Hernandez.
Adulé par les supporters, prolongé jusqu'en 2027, "Lucho", qui a longtemps logé au Campus PSG avant de trouver un appartement, fait désormais partie des murs. Au point que, revenant d'Espagne lors de la dernière trêve internationale à la mi-mars, il a regretté avec humour ne pas être resté à Paris "où il a fait bien plus beau".
Mercredi, Luis Enrique retrouvera sur le banc d'Aston Villa un autre entraîneur aux idées bien précises, l'ancien coach parisien Unai Emery. Il l'avait croisé pour deux soirées légendaires: au cinglant 4-0 infligé par le PSG à l'aller, le Barça de Luis Enrique avait répondu par la fameuse "remontada" (6-1), le 8 mars 2017.
E.Aziz--SF-PST