
-
Ligue 1: l'OM craque à dix à Lyon, Monaco s'impose dans la douleur
-
US Open: pas de miracle pour Rinderknech, Mannarino battu en quatre sets
-
A huit jours de sa probable chute, Bayrou refuse de faire ses adieux et creuse son sillon sur la dette
-
Mondial de rugby: la France en quarts après une balade contre le Brésil
-
Mondiaux de badminton: Shi Yu Qi et Akane Yamaguchi sacrés à Paris
-
Euro de basket: les Bleus, sans inspiration, tombent devant Israël
-
A huit jours de sa probable chute, Bayrou refuse de faire ses adieux et continue le combat
-
Ligue 1: le Paris FC, grâce à Kebbal, s'offre sa première victoire face à Metz 3-2
-
Equipe de France: Ekitike remplace Cherki, inquiétude pour Saliba et Konaté
-
A huit jours de sa probable chute, Bayrou ne veut rien lâcher
-
Pour Bayrou, "la question" du 8 septembre n'est "pas le destin du Premier ministre" mais "le destin de la France"
-
A Venise, Jude Law dans la peau du maître du Kremlin
-
Tour d'Espagne: Vingegaard s'impose en solitaire, Traaen sauve le maillot rouge
-
Foot: Ekitike appelé pour la première fois en équipe France pour remplacer Cherki (FFF)
-
F1: Oscar Piastri remporte le GP des Pays-Bas, premier podium pour Isack Hadjar, 3e
-
Foot: Manchester City encore battu, à Brighton
-
Israël annonce avoir tué le porte-parole de la branche armée du Hamas
-
Indonésie: Prabowo tente de répondre aux revendications mais affiche la fermeté
-
"Mettre les voiles": Greta Thunberg en tête d'une nouvelle flottille pour Gaza
-
A la Mostra de Venise, Jude Law dans la peau du maître du Kremlin
-
Jude Law n'a pas eu peur de se glisser dans la peau de Poutine
-
"Peur de dormir": des Gazaouis terrifiés après de nouveaux raids israéliens
-
Vietnam: le français, atout académique en quête de débouchés professionnels
-
Mondial de Volley: en plein rêve, les Bleues éliminent la Chine et foncent en quart
-
Sans eau propre ni toilettes, la double peine des déplacées de la mousson pakistanaise
-
Le pape appelle à mettre un terme à la "pandémie des armes"
-
Venise: le journaliste d'investigation Seymour Hersh au coeur d'un documentaire
-
Indonésie : le président Prabowo dénonce des manifestations relevant "de la trahison et du terrorisme"
-
Guyana: une route au milieu de nulle part pour développer le pays
-
Le Royaume-Uni mise sur les volants d'inertie pour sécuriser son réseau électrique
-
La rue du train à Hanoï: un lieu unique maintes fois destiné à fermer, sauvé par ses touristes
-
"J'ai toujours eu le choix", dit Bastien Bouillon à Venise
-
En Argentine, la "tango thérapie" pour mieux supporter la maladie de Parkinson
-
Produire de l'électricité grâce aux vagues, un rêve qui devient réalité à Los Angeles
-
Xi accueille Poutine et un sommet voulu comme la vitrine de nouveaux rapports internationaux
-
L1: Lyon-Marseille, attention chantiers en cours
-
Jude Law en maître du Kremlin pour l'un des films les plus attendus à la Mostra
-
A huit jours de sa probable chute, Bayrou va tenter de convaincre les Français
-
Greta Thunberg en tête d'une flottille de bateaux qui veulent atteindre Gaza
-
Poutine en Chine pour un sommet régional
-
Marathon de Sydney: Hassan et Kiros pulvérisent les records de la course
-
Espagne: le Real Madrid renverse Majorque et prend la tête de la Liga
-
US Open: Osaka de retour, Sinner cravache mais passe
-
Ligue 1: le PSG s'offre un carton riche en péripéties à Toulouse
-
Yémen: les rebelles crient vengeance après la mort de leur Premier ministre dans des raids israéliens
-
Euro de basket: les Bleus ont tenu le choc face à Doncic
-
Tour d'Espagne: Philipsen récidive et remporte au sprint la 8e étape
-
Angleterre: Chelsea gagne avec la VAR et Manchester United, avec le coeur
-
Entre souffrance, espoir et abnégation, "l'autre course" des amateurs de l'UTMB
-
Trail: Tom Evans et Ruth Croft s'offrent un UTMB dantesque

Foot: Pour Longoria, l'heure du mea culpa et de la sanction
La colère est retombée: dans une interview lundi avec l'AFP, le président de l'OM Pablo Longoria est revenu sur les mots très forts lâchés après la défaite à Auxerre, qui pourraient lui valoir une lourde sanction, et a admis qu'il n'y avait "pas de corruption dans le foot français".
"Je tiens à dire qu'il n'y a pas de corruption dans le foot français", a clairement assuré Longoria dans cette interview. "La forme n'était pas appropriée et ce mot, je le regrette", a-t-il ajouté.
Car depuis son accès de colère à l'issue de la nette défaite 3-0 de son équipe au stade Abbé-Deschamps, Longoria était en pleine tempête, pointé par les dirigeants de l'arbitrage français comme par ceux de la fédération.
Furieux de l'arbitrage de Jérémy Stinat à Auxerre, les dirigeants marseillais ont en effet parlé très fort samedi soir, évoquant tour à tour un arbitrage "scandaleux" ou "honteux".
"Dites-le bien que Pablo Longoria le dit: c'est de la vraie corruption !", a même lâché le président de l'OM, que des images du diffuseur DAZN ont montré manifestement fou de rage dans les couloirs du stade.
- Des choses "pas claires" -
"Je suis très autocritique, je ne peux pas accepter de donner ce type d'image. Un président de club ne peut pas se comporter comme ça. Rien ne justifie la forme et je ne suis pas content de moi-même", a déclaré Pablo Longoria à l'AFP.
Une fois le mea culpa prononcé, Longoria a tout de même présenté quelques explications. "Même si rien ne la justifie, il faut comprendre comment tu arrives à cette colère. Ma première responsabilité, c'est de défendre mon club. Il y a eu cette saison beaucoup de décisions arbitrales sur lesquelles je considère que l'OM a été défavorisé", a ainsi estimé le président marseillais.
"Aujourd'hui en L1, il y a un manque de cohérence totale d'un match à l'autre. Mais plus on dit les choses, plus on a l'impression que rien n'avance", a-t-il ajouté, évoquant sa "frustration" et sa "colère" face à ce qu'il perçoit comme de l'immobilisme.
Le dirigeant espagnol, inquiet de "toute la situation actuelle du foot français", enlisé dans ses difficultés financières et le dossier des droits TV, a aussi estimé qu'il y avait "des choses qui ne sont pas claires et qu'il faut améliorer, pour tout le monde".
Mais alors qu'il est l'un des vice-présidents de la Ligue de football professionnel, Longoria sait aussi qu'il s'expose à une sanction, qui pourrait être lourde. "Je me dois d'assumer ce que j'ai fait. Ne pas le faire serait hypocrite", a-t-il assuré lundi.
- En commission dès mercredi -
Saisie par le Conseil national de l'éthique, la commission de discipline va ainsi traiter son dossier dès ce mercredi et la gamme des punitions possibles est assez large.
Selon le barème disciplinaire de la FFF, un comportement "excessif ou déplacé" doit être sanctionné de trois matches de suspension, ce qui semble être le scénario le plus favorable pour Longoria.
Car si la commission pointe un "comportement blessant", la sanction peut passer à quatre matches. Plus grave encore, un "comportement grossier ou injurieux" peut entraîner jusqu'à 12 matches de suspension et un "comportement "intimidant ou menaçant" peut être puni de six mois de suspension.
La fin de saison de l'OM pourrait donc s'écrire avec un président suspendu et un directeur du football suspendu, puisque Medhi Benatia purge actuellement une sanction de trois mois après un incident qui impliquait déjà Jérémy Stinat.
Sur un autre front, Longoria pourrait aussi devoir répondre à des plaintes pour diffamation, les arbitres de Ligue 1 ayant annoncé dimanche de façon solidaire qu'ils comptaient tous "saisir le procureur de leur région".
F.Qawasmeh--SF-PST