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Les dirigeants du monde attendus à Nice pour un sommet de "mobilisation" sur l'océan
Entre parade maritime et menu de saison, les dirigeants de la planète sont attendus dimanche à Nice pour une conférence de l'Onu sur les océans qu'Emmanuel Macron entend transformer en sommet de "mobilisation".
En visite d'Etat à Monaco, où il clôturera dimanche un forum sur l'économie et la finance bleue, le président français doit ensuite rejoindre Nice en bateau, où une parade maritime est organisée dans le cadre des célébrations de la Journée mondiale de l'océan.
Outre le président brésilien Lula, une cinquantaine de chefs d'Etat et de gouvernement doivent converger vers la baie des Anges, à la veille de la troisième conférence de l'Onu sur les océans (Unoc 3).
Le président visitera le palais des expositions de Nice transformé en énorme ventre de baleine. Puis des chercheurs lui présenteront les recommandations du congrès scientifique qui a précédé le sommet de Nice, ainsi que le nouveau baromètre Starfish mesurant l'état d'un océan surexploité et en surchauffe.
La journée se terminera par un dîner officiel avec les chefs d'Etat et de gouvernement à l'hôtel Le Negresco, avec un menu mettant à l'honneur légumes de saisons et poissons de la Méditerranée.
Jusqu'à 5.000 policiers, gendarmes et militaires ont été mobilisés pour assurer la sécurité du sommet, qui ne fait toutefois pas l'objet de "menace spécifique", selon les autorités.
- Sommet de "mobilisation" -
Mis sous pression par les ONG, le président a annoncé samedi à la presse régionale une limitation du chalutage de fond dans certaines aires marines protégées (AMP) afin de mieux protéger les écosystèmes.
Ce sommet sera une "mobilisation, dans un moment, politiquement, où les questions climatiques sont remises en cause par certains", a déclaré M. Macron dans Ouest-France, évoquant "une tentation de retrait américain".
Les Etats-Unis, premier domaine maritime au monde, n'ont pas prévu d'envoyer de délégation, comme aux négociations climatiques. Fin avril, Donald Trump a décidé unilatéralement d'ouvrir l'extraction minière dans des eaux internationales du Pacifique, contournant l'Autorité internationale des fonds marins dont les Etats-Unis ne font pas partie.
- Une action trop lente -
Ce n'est que lundi que débutera officiellement la conférence, qui doit faire le point sur les efforts entrepris par les Nations pour développer durablement les océans.
"L'action ne progresse pas à la vitesse ou à l'échelle requise", reconnaissent les Etats dans le projet de déclaration finale, négociée depuis des mois.
Jusqu'au 13 juin, exploitation minière des fonds marins, traité international sur la pollution plastique et régulation de la surpêche et de la pêche illégale seront à la table des discussions.
La France a dû revoir ses ambitions à la baisse pour cette première conférence onusienne dans l'Hexagone depuis la COP21 en 2015. Les 60 ratifications, attendues à Nice, pour permettre l'entrée en vigueur rapide du traité pour protéger la haute mer ne devraient pas être obtenues avant la fin de l'année.
Ce traité, adopté en 2023, vise à mettre à l'abri des écosystèmes marins dans des eaux internationales, qui couvrent près de la moitié de la planète.
La France espère également élargir la coalition de 33 pays en faveur d'un moratoire sur l'exploitation minière des fonds marins.
Les échanges entre délégations devraient également porter sur les négociations pour un traité contre la pollution plastique, qui reprendront en août à Genève, et sur la ratification d'accords sur la lutte contre la pêche illégale et la surpêche.
- "Il y a de l'argent"-
Côté financement, le sommet de Nice "n'est pas à proprement parler une conférence de mobilisation de fonds", a tenu à souligner l'Elysée, alors que le Costa Rica, pays coorganisateur de la conférence, a dit espérer 100 milliards de dollars de nouveaux financements pour le développement durable de l'océan.
La protection des océans, qui couvrent 70,8% du globe, est le moins bien financé des 17 objectifs de développement durable de l'Onu.
"Nous avons créé cette sorte de mythe selon lequel les gouvernements n'ont pas d'argent pour la conservation des océans", a critiqué Brian O'Donnell, directeur de Campaign for Nature, ONG qui milite pour la protection des océans.
"Il y a de l'argent. Il n'y a pas de volonté politique", a-t-il estimé.
I.Matar--SF-PST