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Inflation maîtrisée mais horizon flou : la BCE conserve le statu quo
Inflation maitrisée, risques pour la croissance "atténuées": La BCE a de nouveau maintenu ses taux inchangés jeudi, soulignant que le cap monétaire changera lorsque cela s'avèrera nécessaire.
Le taux de dépôt, référence de la politique monétaire, a été maintenu à 2%, comme depuis juillet, à l'issue de la réunion du conseil des gouverneurs de l'institution délocalisée à Florence, en Italie.
Etalon qui guide les décisions des gardiens de l'euro, l'inflation demeure proche de l'objectif de 2% à moyen terme mais les perspectives sont " très incertaines", a insisté devant la presse la présidente de la BCE, Chistine Lagarde.
Cela explique le maintien du cap monétaire même si sur le front de l'économie, certains "risques baissiers" pesant sur la croissance de la zone euro "se sont atténués" ces dernières semaines, a déclaré la banquière centrale devant la presse.
Elle a cité à cet égard l'accord commercial conclu entre l'Union européenne et les États-Unis durant l'été, moins pénalisant que redouté, le cessez-le-feu récemment annoncé au Moyen-Orient, enfin l'annonce jeudi de progrès dans les négociations commerciales entre les États-Unis et la Chine.
Les dirigeants Donald Trump et Xi Jinping se sont entendus jeudi pour apaiser leur conflit sur le commerce et les terres rares lors d'une rencontre en Corée du Sud.
- Environnement volatil -
Reste que "l'environnement commercial mondial, toujours volatil, pourrait de nouveau perturber les chaînes d'approvisionnement, freiner les exportations et peser sur la consommation ainsi que sur l'investissement", a déclaré l'ancienne directrice du FMI dans son discours liminaire.
La croissance du PIB de la zone euro reste sur une hausse plus forte qu'attendu au troisième trimestre, à 0,2%, malgré l'effet des chocs tarifaires, a indiqué Eurostat jeudi.
Le tableau est contrasté entre la France, où malgré l'incertitude politique, la croissance a surpris par sa vigueur (+0,5%), tandis que l'Allemagne a frôlé la récession avec une économie à l'arrêt (0,0 %).
Les risques pouraient aussi jouer sur l'inflation, forçant alors la BCE à réagir.
Mme Lagarde a cité en l'occurence "d'éventuels goulets d'étranglement et des perturbations dans les chaînes d'approvisionnement" qui pourraient créer des tensions inflationistes, comme cela s'est produit après la pandémie de Covid-19.
La BCE veut aussi comprendre ce que "les discussions entre les autorités américaines et chinoises aboutiront à produire en matière de terres rares" pour évaluer leur impact sur les prix, a expliqué Mme Lagarde.
- Encore en 'bonne position' -
Pour l'heure, elle voit la BCE toujours dans une "bonne position" avec le niveau actuel des taux et au regard des risques pouvant influer sur l'inflation, à la hausse comme à la baisse.
En d'autres termes, la BCE est déterminée "à faire en sorte que l'inflation se stabilise à 2% à moyen terme", en faisant "tout ce qui est nécessaire" pour y parvenir, a expliqué Mme Lagarde.
L'agrégat qui avait culminé à 10,6% en 2022, dans le sillage de la flambée des prix de l'énergie liée à la guerre en Ukraine, est revenu autour de l'objectif de 2% ces derniers mois.
La réunion de la BCE n'a in fine pas fourni d'indication claire sur la prochaine direction que pourrait prendre l'institut monétaire.
"Comme la politique monétaire ne freine pas l'activité économique, la BCE semble bien avisée de rester pour l'instant en retrait", a commenté Jens-Oliver Niklasch, économiste chez LBBW.
Mercredi, la Réserve fédérale américaine (Fed) a de son côté décidé une baisse d'un quart de point de pourcentage, ramenant ses taux dans une fourchette de 3,75% et 4%.
Une deuxième détente, après celle de septembre, afin de soutenir une économie où le marché du travail montre des signes de faiblesse.
La BCE a quant à elle de nouveau souligné jeudi que sa politique monétaire restera guidée par les "données" disponibles et que ses décisions continueront d'être prises "réunion par réunion".
Z.Ramadan--SF-PST